Filmographie : Quentin JACQUES
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27 fois le temps
Annick GHIJZELINGS
- BE - 2016 - 01h13min
Ancré en Polynésie, au cœur du Pacifique sud, ce film vagabond traverse les frontières et les siècles pour explorer le temps et ses représentations. Surgissent une constellation d’histoires où se rencontrent les sciences d’aujourd’hui et les mythes d’hier, la politique et la poésie, les rêves et l’histoire. Il se pourrait bien qu’à la fin du voyage, le temps ne soit plus du tout ce qu’il semble être.
À l'oeuvre (sous-titré anglais)
Maxime COTON
- BE - 2012 - 00h43min
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
À l'oeuvre (sous-titré français)
Maxime COTON
- BE - 2012 - 00h43min
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
Des vacances familiales
Céline NOVEL
- BE - 2005 - 00h42min
Des centres socioculturels organisent des séjours pour des familles aux revenus modestes en mettant des caravanes à leur disposition. Chaque été, des enfants ont ainsi la possibilité de partir en vacances et de découvrir la vie en camping...
La chambre de Damien
Jasna KRAJINOVIC
- BE - 2008 - 01h13min
Damien est entré dans la prison pour jeunes délinquants de Celje (en Slovénie) en 2002, à l'âge de quinze ans. Au printemps 2007, à quelque mois de la fin de sa peine, il entreprend "un voyage" depuis sa chambre de prisonnier jusqu'à la chambre qui l'attend dans la maison de ses grands-parents à Shoshtanj. Un cheminement qui passe par l'évocation du crime et les douloureux moments de la détention, mais qui contient aussi la renaissance de l'espoir et le projet d'un nouveau départ…
La chambre de Damien (sous-titré anglais)
Jasna KRAJINOVIC
- BE - 2008 - 01h13min
In Slovenia, Damien was sent to jail six years ago. Soon free, he allready starts his journey from his prison cell to the room waiting for him at his grand parents’s. This goes trhough the evocation of the crime, the hard times of prison life, but also through the rebirth and the hope in a new beginning.
La peur tue l'amour: Traces de coming-out
Patrick CARPENTIER
- BE - 2003 - 01h15min
Annick, Laurent, Sylvie, Luc, et Olivier : cinq personnes se racontent et disent leur homosexualité. Leurs histoires parlent de découverte, de sensualité, de peur, de reconnaissance, de sexualité, de différence, d’amour. L’une se rappelle ses premiers émois adolescents, un autre raconte sa difficulté initiale à se reconnaître homosexuel, un autre encore sa joie à découvrir son orientation sexuelle dans un amour profond et durable. Tous évoquent les réactions qu’a suscité l’annonce de leur homosexualité au sein de leur famille : ils racontent l’incompréhension, la colère, parfois la honte ou l’indifférence feinte, les questions mais aussi la reconnaissance et l’amour provoqués par la révélation de leur orientation sexuelle. En écho à ces cinq vécus, transparaît peu à peu le caractère universel de toute situation de différence, quel(le) que soit celui ou celle qui la vit : c’est la peur de (se) reconnaître qui tue l’amour, c’est l’ouverture et l’acceptation qui le fait (re)naître.
La ville invisible
Philippe DE PIERPONT
- BE - 2000 - 00h55min
Une péniche rouillée, un tram, une impasse, un banc, un cimetière, une statue... Tendant un fil rouge entre une dizaine de lieux secrets ou intimes, Philippe de Pierpont dresse une topographie kaléidoscopique de Bruxelles. Par sa qualité d'écoute, la parole de ses onze interlocuteurs trouve à chaque fois la place qui lui revient, dans le film comme dans la ville. Les petites histoires de chacun rentrent en vibration avec les grandes questions de tous: la naissance, la mort, l'amour, la liberté, la différence ou la solitude. Une image assez convaincante de Bruxelles - comme puzzle collectif de territoires affectifs individuels - apparaît: celui d'une ville à la fois déchirante et réconfortante, où chacun essaye de s'aménager, au milieu des autres, sa petite parcelle de bonheur.
Maisha ni karata: La vie est un jeu de cartes
Philippe DE PIERPONT
- BE - 2003 - 01h09min
Burundi, 1991. Philippe de Pierpont rencontre six enfants des rues à Bujumbura: il y a Zorito, le leader du groupe, Innocent, Philibert, Assouman, Etu et Jean-Marie. Pendant un mois, le cinéaste et les enfants apprennent à se connaître, puis décident, sur une idée de Zorito, qu'ils se reverront aux moments charnières de leur vie. Le réalisateur revient en 1994, mais le début de la guerre civile l'empêche de revoir les enfants. Lorsqu'il retourne au Burundi en 2003, il ne sait pas ce qui l'attend. Surtout, une question l'angoisse: les enfants - devenus de jeunes adultes - ont-ils survécu à la guerre?
Mon nom
Oivier HESPEL
- BE - 2011 - 00h52min
Tous les quatre, nous essaierons de déterminer ce qui nous distingue et ce qui nous unit, et tenter une définition de l'olivierhespelitude. Cette quête absurde sera l'occasion de détricoter en images et en sons les nombreux fils qui tressent le lien intime et social à notre nom, cette part fondamentale de notre identité que constitue le nom.
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